En 2025, le Séminaire de Sainte-Thérèse célèbre le 200e anniversaire de sa fondation. La tradition d’enseignement du Séminaire s’est poursuivie et elle demeure encore à ce jour dans les murs du Collège Lionel‑Groulx.
Il sera souligné par une série d’événements tout au long de l’année, mettant en lumière la continuité de la mission en reliant le passé au présent afin de préparer le futur.
200 ans d’évolution
1825 : les origines
La fondation de notre institution remonte à une époque charnière de l’histoire du Québec.
Au début du 19e siècle, des Canadiens français et l’Église catholique craignent l’influence grandissante des anglophones et des protestants dans plusieurs régions. Le Québec est alors une colonie britannique appelée Bas‑Canada.
Pour éviter que les jeunes fréquentent une des écoles anglophones et protestantes de la région, qui sont gratuites, on implante des écoles primaires et secondaires françaises et catholiques dans les Basses‑Laurentides.
À Sainte-Thérèse, le curé Charles-Joseph Ducharme décide de fonder une école pour former des instituteurs et aider des élèves à être admis dans des collèges classiques. Cette école, fondée il y a 200 ans, est le premier jalon d’une longue histoire qui mène jusqu’à nous.
Un presbytère
On aperçoit à gauche le presbytère dans lequel le curé Ducharme ouvre son école.
Il enseignait au départ à six garçons. Les filles ne sont pas admises dans les écoles supérieures à cette époque.
1830 : le premier pavillon
Le nombre d’élèves augmente, le presbytère devient rapidement trop petit. On construit un pavillon qui accueille 50 élèves.
Situé au coin des rues Saint‑Charles et Saint‑Louis, tout près du Collège actuel, il était surnommé le Collège jaune. Ce pavillon n’existe plus aujourd’hui.
1837 : les Rébellions
L’école de Ducharme est le témoin d’évènements importants. Après la défaite des Patriotes à Saint‑Eustache à l’automne 1837 (peinture ci-contre), un régiment britannique vient rechercher des fugitifs à Sainte‑Thérèse.
À la demande du colonel John Maitland, le curé Ducharme est forcé d’héberger des soldats au Collège jaune.
1842-1881 : la croissance
En 1842, l’école prend le nom de Petit Séminaire de Sainte‑Thérèse. C’est maintenant une véritable école supérieure qui offre le cours classique.
Quelques années plus tard, on construit un imposant bâtiment qui accueille 200 élèves et une quinzaine de prêtres enseignants.
À partir des années 1860, le séminaire établit un partenariat avec l’Université Laval. Il fonde aussi une école d’agriculture, mais elle ne survivra que deux ans.
1881 : l’incendie
À droite sur l’image, on aperçoit la rue Blainville et le séminaire. En octobre 1881, il est entièrement détruit par un incendie, mais l’année scolaire peut se poursuivre grâce à la solidarité villageoise.
Pendant deux ans, les cours sont donnés dans des maisons privées et les pensionnaires y sont hébergés.
1883 : la renaissance (1/2)
L’incendie de 1881 provoque aussi un élan de solidarité nationale.
Grâce à une collecte de fonds dans plusieurs régions du Québec, le séminaire est reconstruit en moins de deux ans, un exploit pour l’époque.
Le séminaire est prêt pour la rentrée de l’automne 1883. On reconnait la partie centrale de l’actuel pavillon Ducharme.
1883 : la renaissance (2/2)
Le magnifique hall d’entrée principal du séminaire, construit entre 1881 et 1883.
1888 : l’oratoire Saint-Joseph
Devant le séminaire, on construit à la fin du 19e siècle une petite chapelle pour héberger les restes du fondateur du séminaire, le curé Charles‑Joseph Ducharme, décédé en 1853. Il existe un petit nombre de ce type de construction au Québec.
Aujourd’hui très endommagé par le passage du temps, l’oratoire est en attente de restauration.
1898-1911 : premiers agrandissements
À la fin des années 1890, on construit à l’arrière du séminaire une vaste chapelle et une salle de spectacles (aujourd’hui le pavillon Léger).
En 1911, on prolonge le pavillon principal vers le sud (à droite sur l’image). Le séminaire compte 300 élèves.
1898 : une salle de spectacles
Construite en 1898, la « Salle académique » contenait 1000 places et servait pour le théâtre, les cérémonies scolaires et les conférences.
Elle sera démolie en 1958 pour faire place au pavillon Léger.
1898 : une chapelle
La chapelle du séminaire, aussi grande qu’une église, également construite en 1898 et démolie en 1958 pour la construction du pavillon Léger.
1925 : 100 ans d’histoire
En 1922, le séminaire établit un partenariat avec l’Université de Montréal. Pour marquer trois ans plus tard son 100e anniversaire, il érige une statue de son fondateur, le curé Charles‑Joseph Ducharme.
Toujours présente aujourd’hui devant le Collège, elle sera restaurée pour souligner le 200e anniversaire de notre institution.
1939 : un séminaire à la campagne
Sainte-Thérèse et le séminaire en 1939, entourés de terres agricoles. C’est alors une institution d’enseignement supérieur et un lieu de culture incontournable dans toutes les aurentides.
Une ferme
Derrière le séminaire (aujourd’hui le stationnement), on exploitait depuis le 19e siècle une ferme, une érablière, un verger et des jardins pour nourrir le personnel et les élèves.
1951-1953 : nouvelles constructions
Le séminaire dans les années 1950. En haut à gauche, on aperçoit l’aréna, ouvert en 1951 et démoli en 2018.
En 1953, le pavillon principal est une nouvelle fois prolongé, cette fois vers le nord. Le séminaire accueille alors 400 élèves, dont 250 pensionnaires.
1958-1961 : de grands travaux
Au tournant des années 1960, on démolit la chapelle et la salle de spectacles pour construire le pavillon Léger (Paul-Émile Léger, ancien élève devenu cardinal).
On érige un nouvel amphithéâtre (aujourd’hui le Théâtre Lionel‑Groulx), les pavillons Sauvé (Paul Sauvé, ancien élève devenu premier ministre du Québec) et Frenette (Émilien Frenette, premier évêque de Saint‑Jérôme).
1962 : les premières élèves
À l’automne 1962, la première cohorte de filles fait son entrée au séminaire. À l’époque, elles ne suivent pas leurs cours avec les garçons, mais dans un pavillon aménagé dans une maison de Sainte‑Thérèse.
Dès 1967, à la création des cégeps, le Collège Lionel‑Groulx sera mixte.
1967 : le Collège Lionel-Groulx
À l’automne 1967, au cœur de la Révolution tranquille, les 12 premiers cégeps ouvrent leurs portes.
Le Petit Séminaire de Sainte-Thérèse devient le Collège Lionel‑Groulx, en mémoire d’un ancien élève du séminaire devenu un célèbre historien. Il compte 436 personnes étudiantes.
1968 : l’occupation du Collège
En octobre 1968, quelques mois après Mai 68 en France, la communauté étudiante du Collège Lionel-Groulx est à l’origine d’un mouvement de contestation qui s’étendra à l’échelle du Québec. On dénonce entre autres le manque de places dans les universités et le système de prêts et bourses.
Les sessions sont interrompues dans de nombreux cégeps. À Lionel-Groulx, l’occupation du collège dure plusieurs semaines.
1979 : un monument historique
À la fin des années 1970, le pavillon Ducharme et l’oratoire Saint-Joseph sont reconnus pour leur valeur historique par le ministère de la Culture du Québec. En 2012, ils seront officiellement classés « immeubles patrimoniaux ».
2012 : le « Printemps érable »
En mars 2012, la communauté étudiante du Collège vote en faveur d’un mouvement de contestation contre la hausse des frais de scolarité universitaires. La session est interrompue dans de nombreux cégeps.
Le 15 mai, l’escouade antiémeute de la Sûreté du Québec intervient pour forcer la reprise des cours au Collège. Ils ne reprendront qu’au mois d’aout.
Aujourd’hui
Le Collège accueille près de 6500 personnes étudiantes. Depuis les années 1960, de nombreux pavillons ont été construits : les ailes Théâtre, Musique et Nature, le pavillon d’ordinique, les résidences étudiantes et le Centre sportif.
L’aréna a été démoli. Le nouveau pavillon Louise‑Harel ouvrira ses portes à l’automne 2025.
200 ans… d’enseignement
Des années 1830 à 1967, le Petit Séminaire de Sainte-Thérèse offre principalement le cours classique, qui dure 8 ans et permet aux finissants d’accéder à l’université. À partir de 1967, le Collège Lionel-Groulx commencera à offrir différents programmes préuniversitaires et techniques.
Des garçons
Jusqu’en 1962, seuls des garçons fréquentent le séminaire. Ils y entrent après leurs études primaires, vers l’âge de 12 ans. Les frais de scolarité sont couteux, mais des réductions sont à l’occasion accordées pour des garçons jugés talentueux. Sur la photo, un groupe porte l’uniforme traditionnel du séminaire.
Des prêtres enseignants
Jusqu’au 20e siècle, les professeurs du séminaire sont des prêtres qui ont choisi, après leur entrée en religion, de consacrer leur vie à l’enseignement.
L’Église catholique garde le contrôle de l’éducation au Québec jusqu’aux années 1960.
Au bureau
Un prêtre enseignant dans son bureau. Il serait aujourd’hui situé dans le pavillon Ducharme.
Des professeurs laïques
Au cours du 20e siècle, des professeurs n’étant pas entrés en religion commencent à enseigner au séminaire aux côtés des prêtres enseignants.
Le cours classique
Le programme comporte des matières variées : philosophie, mathématiques, sciences, grammaire, littérature, écriture, musique, théâtre, histoire, art de débattre, latin, grec et religion catholique.
Les sciences
Dès le 19e siècle, on critique au Québec la capacité du cours classique de former des scientifiques, des ingénieurs et des entrepreneurs. Le séminaire fera une bonne place à l’enseignement des sciences naturelles.
Un musée
Créé dans les années 1880, le musée d’histoire naturelle contenait des centaines d’oiseaux et de mammifères empaillés (dont un orignal entier), des papillons et des insectes. On l’utilise pour enseigner la biologie et la zoologie.
De nouvelles matières
Cours de dactylographie au séminaire, probablement au début du 20e siècle.
L’étude
L’horaire des élèves du cours classique prévoit chaque jour plusieurs périodes d’étude et de travail personnel.
Le théâtre
Des pièces de théâtre montées par les élèves et leurs professeurs étaient fréquemment présentées à la salle de spectacles du séminaire.
La musique
De nombreuses photos conservées dans nos archives témoignent de l’importance de la musique à travers l’histoire de notre institution.
Les premières professeures
À l’ouverture du Collège Lionel‑Groulx à l’automne 1967, des femmes font déjà partie du personnel enseignant.
Les études collégiales
La création du Collège Lionel‑Groulx en 1967 transforme les programmes d’études, mais l’esprit du cours classique perdure avec la formation générale (philosophie, littérature, éducation physique, l’anglais sera ajouté plus tard).
Parmi les premiers programmes offerts figure l’informatique (notre photo). Aujourd’hui, le Collège offre 31 programmes différents et de la formation continue.
200 ans… d’une communauté
Étudiants et professeurs peuplent notre institution depuis 1825, mais le fonctionnement du séminaire et du Collège Lionel‑Groulx repose, depuis 200 ans, sur le travail de nombreuses personnes, tous corps d’emploi confondus, formant une véritable communauté dédiée à l’éducation et à l’enseignement supérieur.
Les directeurs
La direction du séminaire est assurée par des prêtres tout au long de son histoire, de 1825 à 1967.
Sur la photo, le curé Arthur Jasmin (portant un chapeau noir), supérieur du séminaire dans les années 1910, accueille des visiteurs.
Les cuisiniers
Au 19e siècle, les élèves mangent au réfectoire. Les employés doivent nourrir chaque jour des dizaines d’élèves, dont de nombreux pensionnaires.
Le personnel d’entretien
Comme aujourd’hui, ces employés étaient essentiels dans la vie quotidienne du séminaire.
Les fermiers
À l’arrière du séminaire (aujourd’hui le stationnement), des employés faisaient fonctionner entre autres une beurrerie, une forge, un élevage de porcs et de vaches et cultivaient des jardins pour nourrir le personnel et les élèves.
Les bibliothécaires
La bibliothèque du séminaire. Au début du 20e siècle, la section des élèves contient 3000 livres et celle des professeurs 30 000.
Un rôle essentiel
À la création du Collège Lionel‑Groulx, le travail des bibliothécaires devient indispensable pour les étudiants. Aujourd’hui, la bibliothèque dispose de plus de 60 000 documents.
Les administrateurs
Au début des années 1960, on installe le personnel administratif dans le nouveau pavillon Léger, alors tout récemment construit.
Le personnel professionnel (1/2)
Bureaux du secrétariat pédagogique au début des années 1970. Aujourd’hui, l’ensemble des services du Collège emploient 76 personnes membres du personnel professionnel.
Le personnel professionnel (2/2)
Service aux étudiants, dans les années 1970.
Les spécialistes du soutien étudiant
Une aide pédagogique individuelle avec une étudiante au début des années 1970.
Bientôt, des conseillères et conseillers d’orientation, travailleuses et travailleurs sociaux et psychologues feront leur entrée au Collège.
Le soutien technique
Les services audiovisuels apparaissent dès le début des années 1970. Ils fournissent aux personnes étudiantes caméras, appareils photo, appareils d’enregistrement.
200 ans… d’un milieu de vie
En plus d’une institution d’enseignement, le Petit Séminaire de Sainte‑Thérèse et le Collège Lionel‑Groulx ont été un milieu de vie pour des générations étudiantes et de membres du personnel. Lieu de rencontres et d’activités de toutes sortes, c’était même un lieu de résidence pour de nombreux pensionnaires.
Les dortoirs
Avant la construction du pavillon Sauvé au début des années 1960, les pensionnaires étaient hébergés dans des dortoirs qui se trouvaient dans l’actuel pavillon Ducharme.
Le parloir
Les pensionnaires, éloignés de leur famille, pouvaient recevoir la visite de leurs proches au parloir.
Ce local, avec ses magnifiques boiseries, existe encore aujourd’hui. Il est situé dans le hall d’entrée principal du pavillon Ducharme.
Les cours de récréation
Partie de baseball dans l’une des cours de récréation (un stationnement et le terrain de soccer s’y trouvent aujourd’hui).
Le bâtiment ouvert servait au jeu de paume, aussi appelé balle au mur. Très populaire dans les séminaires, semblable au tennis, il se jouait entre trois murs et sous un toit.
Les terrains de jeux
Partie de volleyball sur le terrain du séminaire, probablement durant une récréation, puisque les joueurs semblent vêtus pour aller en classe.
La patinoire extérieure
Partie de hockey sur la patinoire du séminaire. Elle était située à l’emplacement actuel du Centre sportif.
En 1951, un aréna sera construit près de cet endroit et sera en activité jusqu’en 2018.
La glissade sur glace
Une structure de bois permettait de glisser sur plusieurs dizaines de mètres.
On aperçoit, derrière les arbres, la chapelle du séminaire construite en 1898. Depuis 1958 se trouve à cet endroit le pavillon Léger.
La fanfare
Parmi les occupations possibles, à part les activités sportives : faire partie de la fanfare du séminaire.
La salle de récréation
Élèves joueurs de cartes dans la salle de récréation. Elle se trouvait près de l’emplacement actuel de la Coop dans le pavillon Ducharme.
Le salon des professeurs
Les prêtres enseignants du séminaire avaient aussi leurs moments de détente.
Plusieurs d’entre eux étaient de jeunes hommes qui adoptaient les mêmes loisirs et habitudes que les laïques de leur époque : à l’avant, on remarque la présence de deux crachoirs.
Le salon du personnel
Un salon est aménagé dans le pavillon Léger, construit au début des années 1960. Aujourd’hui, on retrouve à cet endroit la Salle stratégique. À droite, on remarque la présence d’un foyer.
Les chambres et les résidences
Au cours du 20e siècle, les pensionnaires sont peu à peu hébergés dans les chambres du pavillon Sauvé. Aujourd’hui, des dizaines de personnes étudiantes logent dans les résidences du Collège.
La chapelle
Les rituels catholiques font partie du quotidien des élèves du séminaire. Au début des années 1960, cette chapelle remplace la précédente, qui datait de la fin du 19e siècle, dans le pavillon Léger.
Aujourd’hui, on y retrouve sur deux étages la bibliothèque et des classes. L’imposant vitrail est une création de l’artiste français Maurice Ernest Max‑Ingrand.
Une école mixte (1/2)
À partir de 1962, notre institution devient un milieu de vie mixte. Garçons et filles se côtoient non seulement dans les classes, mais aussi dans le cadre de nombreuses activités.
Une école mixte (2/2)
Étudiantes et étudiants réunis dans la cafétéria à la fin des années 1960.
200 ans… d’équipes sportives
Dès le 19e siècle, les séminaires accordent une grande importance aux sports. Entre cette époque et les équipes actuelles des Nordiques du Collège Lionel‑Groulx, des générations étudiantes de Sainte‑Thérèse ont affronté des institutions rivales dans de nombreuses disciplines.
Hockey sur glace
Équipe du séminaire devant un trophée au début du 20e siècle. Le logo est un simple T.
À l’avant, SMST signifie en latin Seminarius Minus Sanctae Theresae. En français : Petit Séminaire de Sainte‑Thérèse.
À l’aréna
Équipe de Lionel‑Groulx au début des années 1970 dans l’aréna du Collège, construit en 1951 et démoli en 2018.
Raquette
Les équipes de raquetteurs ont longtemps été très nombreuses au Québec.
On remarque à droite le drapeau triangulaire avec l’inscription « Ste‑Thérèse ».
Gymnastique
Devant l’équipe, une citation latine célèbre du poète romain Juvénal, Mens sana in corpore sano : « Un esprit sain dans un corps sain ».
Baseball
Équipe du Séminaire de Sainte‑Thérèse au début du 20e siècle.
Saut à la perche
Entrainement ou compétition sur le terrain du séminaire.
Basketball
Joueurs du Collège Lionel-Groulx dans les années 1970.
Football
Équipe du Collège Lionel‑Groulx dans les années 1970.
200 ans… d’archives
Le Collège Lionel‑Groulx possède deux fonds d’archives permettant de plonger dans l’histoire de notre institution.
Les archives du Petit Séminaire de Sainte-Thérèse (1/2)
Malgré l’incendie qui a détruit le séminaire en 1881, les plus anciennes archives ont été sauvées des flammes grâce au courage de professeurs et d’étudiants.
À partir de 1977, le Collège Lionel‑Groulx confie le fonds du séminaire aux Archives nationales du Québec à Montréal. Depuis 2014, elles sont de retour à Sainte‑Thérèse et conservées dans la Maison du citoyen, sur la rue Turgeon.
Les archives du Petit Séminaire de Sainte-Thérèse (2/2)
Ces archives couvrent les années 1825 à 1967. Elles contiennent 600 photographies et 255 boites de documents parmi lesquelles on trouve entre autres des bulletins, des travaux étudiants, le journal du séminaire, des registres administratifs, des factures, des lettres, des plans d’architecture, etc.
Archives du Collège Lionel-Groulx (1/2)
Les archives couvrant la période de 1967 à nos jours sont conservées au 5e étage de l’aile Léger, au-dessus de la bibliothèque. Elles contiennent des centaines de milliers de documents administratifs liés à la gestion du Collège, mais aussi des archives historiques.
Archives du Collège Lionel-Groulx (2/2)
Notre archiviste, Ya Mei Lin, veille au classement de tous les documents produits par le Collège et à la conservation de milliers de photographies et diapositives, d’affiches et de laminages.
On trouve aussi des dizaines de boites contenant entre autres les périodiques publiés au fil des générations par l’association étudiante, le corps professoral et la direction, des revues de presse, des bulletins, des travaux étudiants, etc.
On trouve aussi des documents sur la transition entre le séminaire et le Collège en 1967, sur la construction des pavillons et l’histoire des premiers départements et programmes.